Dimanche 29 janvier
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18:30
Jeudi 26 janvier 2012 :
Matin tranquille, bain détente, tu as décidé de m’offrir à un pote à toi comme cadeau car il va quitter la France. Je me prépare pour
cette rencontre. Rdv à 14h, j’y suis en avance. J’ai mis une robe noire mini, avec décolleté jusqu'à la taille et dos nus, porte jarretelles, bas, bien sur pas de culotte.
Tu arrives, comme tu me l’avais demandé, je me suis assise à l’arrière de la voiture en position de pute, fesses à même le siège. En
route, tu me doigtes, on arrive chez ton pote, il fait beau, tu m’as faite assoir, sur une chaise, robe relevée et cuisses écartées et on boit une bière dehors. Pendant que vous discuter, tu me
branles et me doigte, j’ai failli jouir à un moment !!!
Puis ton pote et moi rentrons dans sa caravane, je me frotte à lui, puis le suce, il me demande ce que j’ai comme jouets, je lui vide
le sac sur le lit, il y a une bouteille, le martinet, pinces à seins, pinces à linge, cravache, foulards ect… Il décide d’essayer les pinces aux seins, me les tire, me les arrache,
recommence et aussi me tord les bout en me pinçant, je gémis, j’ai mal, mais pense à toi, et la douleur devient bonheur. Il me fiste la chate, le cul avec sa main, mais elle ne rentre pas
complètement et avec la bouteille aussi. Durant tout ce temps, je le suce, il est bien dur, hummm. Il m’encule en levrette, me prend la chatte, je le suce à nouveau, mais n’arrive pas à le faire
jouir. On sort, Vincent et toi nous attendiez, tu me prends dans tes bras, m’embrasse, tu es géniale, je ressens ton amour pour moi, et mon cœur se met à battre très fort, je t’aime. Tu me crache
dans la gueule, pour bien me rappeler que je t’appartiens.
On avait décidé d’aller chercher ton chien et d’aller en garrigue, pour essayer de me faire lécher, voir enculer, par lui. Mais
comme il est trop tard, on n’a plus le temps. Je suis un peu déçue, mais je sais que ce n’est que partie remise.
et on va manger en garrigue dans la voiture. On c’est mis à l’arrière, tout en mangeant, tu me demande de te sucer, ce que je fais, et
tu m’expliques, la façon dont tu aimerais vivre, si nous vivions ensemble : que je te sois complètement soumise, 24h sur 24, être pleinement ta chose disponible à tout instant, toujours
vêtue en saloppe, tenir la maison nickel, ne pas travailler mais être ta chienne, saloppe, soumise, tout le temps. Je réfléchis vite et te dis oui, je suis prête à vivre cette expérience avec
toi, je t’aime largement assez pour réussir à supporter cette façon de vivre, j’en suis sure.
On sort, et tu m’encule à sec sur le capot, puis te fini sur ma gueule de chienne, hummmmm je t’aime plus que tout.